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Courrier des Lecteurs

2011 - saison 2/3

 

 

10/7/2011 - P.B.

Vernissage et marouflage d'une gouache

 
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PB : Je veux maroufler une gouache sur papier a grain(224g) sur une toile.
Je veux aussi la vernir avec un vernis pris parmi les marques les plus connues.
Dois je vernir avant ou après le marouflage ?
Quelle colle employer pour ne pas attaquer la couche picturale par imprégnation ?

 

 

 

 

Dtp : On ne l'a jamais su vraiment mais moins que jamais on ne sait ce qu'est la gouache, pas davantage les produits vendus comme vernis. Si un lecteur de cet article trouvait des exceptions il serait bienvenu à nous en faire part.

S'ajoute à cela le fait que les marchés de plus en plus ouverts ne sont pas toujours contrôlés. En témoigne l'affaire Mattel de 2007 (lien), qui est aussi une histoire de peinture : 20 millions de jouets couverts de peinture au plomb (certes donc pas de gouache) furent rappelés et le bilan humain demeure inconnu.

Sans annoncer pour demain une catastrophe sanitaire, on dira simplement que la gouache, peinture très mal définie, est particulièrement sujette à toutes sortes d'interprétations industrielles d'autant plus qu'elle représente un marché gigantesque en tant que peinture à usage scolaire de dimension planétaire.

 

 

Un problème de définition brûlant

 

 

Comme nous l'avons indiqué dans l'article consacré aux gouaches et à leur protection (lien), nous avons recueilli - dès les premières années 2000 - les témoignages répétés d'accidents picturaux lors de l'application de soi-disant vernis pour gouaches, y compris de bonnes marques. Cela semble assez logique : puisque l'on peut placer n'importe quel produit sous l'étiquette de "gouache", un "vernis pour gouache" risque de convenir à certains et pas à d'autres.

 

 

 

Accidents picturaux bien repérés

 
 

On peut donc au mieux transposer le problème que vous évoquez à partir d'autres peintures : on maroufle avant de vernir parce que le marouflage implique des manipulations pouvant altérer le vernis, théoriquement plus cassant, plus "résineux" que la peinture.

Cependant, étant donné le flou en ce qui concerne les vernis pour la gouache (on lit de ces choses...), nous ne pouvons pas garantir que cette transposition est pertinente.

 

 

Il devient difficile de répondre

 
 

Concernant la colle, une vinylique convient généralement très bien. Colle blanche, colle à papier peint.

 

 

 

 

Pour les détails, consulter l'article consacré au marouflage

 
 

Au-delà, gouache et information continuant à faire chambre à part, ce que nous pourrions en dire, nous, ne pourrait avoir d'application pratique.

 

C'est sans doute aux fabricants d'agir en faisant un sérieux effort d'information, aux décisionnaires économiques d'apprendre à dire non et enfin au public de retrouver les joies de la caséine, de la dextrine, de l'aquarelle et autres gélatines. Mais on n'aime pas tellement parler de cela. On sort de notre terrain d'action. Conseiller sur un produit dont personne ne sait plus rien est impossible. Au-delà, les responsabilités sont du ressort d'autres intervenants.

 

 

L'article consacré à la gouache a été partiellement mis à jour, notamment la conclusion.

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