Dtp :
Oui, pourquoi ?
Comme dit dans la
réponse précédente, il existe peu de couleurs fluo ayant un
minimum acceptable de permanence,
donc admettons qu'il y en ait aujourd'hui six. Six composants de base.
Partant de là , le procédé de mélange
choisi par l'entreprise que vous mentionnez est tout à fait cohérent.
Il n'est seulement pas suivi en général parce que l'on attend - Ã
tort, presque par réflexe conditionné - des couleurs fluo qu'elles
soient saturées.
Ces entrepreneurs ont un point de vue
contemporain qui est audacieux car subtil et hors des sentiers battus.
La fluorescence peut "révéler" une autre couleur sous l'effet de la
lumière noire sans pour autant devenir tonitruante (ici, on passe du
marron au gris). C'est un axe de recherche d'un haut intérêt quand on
en entrevoit les applications.
Six couleurs bien réparties sur le
spectre permettent d'obtenir beaucoup de couleurs et de nuances.
Cependant, la réactivité de chaque composant à la lumière noire n'est
pas forcément identique - même chose avec la lumière visible -, donc
les comportements en association sont à explorer avec attention. C'est
vraiment une bonne piste.
Merci beaucoup, Mme C.A., de nous en
avoir parlé !