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Les cobalts

 

 

 

Les couleurs à base de cobalt comptent parmi les plus chères.

Elles posent certains problèmes en peinture à l'huile car le cobalt est un métal dont l'oxyde est un puissant siccatif. A part le vert et le violet de cobalt qui seraient moins siccatifs (selon Xavier de Langlais), les autres couleurs de cette famille posent un problème. La sagacité du peintre est fortement sollicitée : faut-il isoler ces couleurs entre deux couches de glacis isolants, recourir au smalt qui est vitrifié ou bien mettre au point longuement une autre solution en atelier ?

 

Le bleu de céruléum et le bleu de cobalt sont les principales couleurs à base de cobalt.

 

Il existe aussi :

* le smalt, d'emploi ancien, mais encore disponible en France ;

* un vert de cobalt (couleur assez impure, souvent plutôt terne, voir photo ci-contre), très présent parmi les gammes de peinture acrylique ;

* un jaune de cobalt, plutôt orangé, de composition inconnue par nous et en voie de disparition. A tort ou à raison, il est réputé hautement siccatif pour la peinture à l'huile. Le nom courant actuel de cette couleur est jaune auréolin ;

* un pigment que nous connaissons mal : l'arséniate de cobalt, allant du jaune orangé au rouge violacé ;

* un violet et un magenta de cobalt (phosphate de cobalt), présents notamment dans les gammes d'aquarelle ;

* le carbonate de cobalt, un "oxyde" employé dans les arts du feu. Lire passage in Les oxydes.

 

 

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