MD : J'ai lu avec grand intérêt votre site et je le trouve comme de nombreux commentaires très bien réalisé.
J'ai lu à un moment que vous parlez de la fluorescence alimentaire et vous indiquez que c'est possible. Pour peut être donner plus d'informations au lecteur, vous pourriez rajouter que celle-ci est présente dans des boissons. Le Canada Dry ainsi que le Schweppes sont deux boissons fluorescente qui réagissent aux lumières UV, par l'intermédiaire de la quinine.

Je me demande d'ailleurs auprès de qui je pourrais trouver de la quinine pour effectuer quelques essais à la maison ? La dénomination européenne la stipule sous le nom de E999 il me semble, mais internet semble vierge de ce produit, ce qui est assez surprenant.

Dtp : Merci du compliment !

et merci d'évoquer ce sujet. Pourquoi pas en effet évoquer ces boissons sur Dotapea.

Le Kompass donne bien une adresse, mais elle est destinée aux industriels. Nous parlons en fait d'une famille basée sur l'alcaloïde quinine conjugué sur le mode sulfate ou chlorhydrate ou encore enchaîné dans une combinaison polyvinylique compliquée à destination pharmaceutique.

 

Ils doivent être employés à doses homéopathiques et ce n'est vraiment pas une image car c'est précisément en testant sur lui-même en 1789-90 les effets des écorces de quinquina que le Dr. Samuel Hahnemann - un personnage tout à fait intéressant (lien vers une recherche Google) - conçut les grands principes de l'homéopathie dont il fut l'inventeur.

En fait, la quinine ou les écorces de quinquina ne peuvent pas être mises à la disposition du grand public sinon sous forme préparée.

 

En conclusion, pour réaliser une préparation alimentaire (boisson ou autre) sur cette base, il faut une compétence pharmacologique et médicale, sans même parler d'une mise en vente. Simplement pour votre santé.

Votre recherche est difficile - les sociétés que vous mentionnez ne vous donneront pas la recette - mais intéressante. Il y a plusieurs chemins pour la mener. Elle pourrait vous envoyer au Pérou, dans les magasins spécialisés ou dans les bibliothèques et les labos. Une solution plus simple serait de trouver une personne qualifiée ayant les connaissances pharmacologiques nécessaires sur ce sujet précis. Un botaniste ne serait pas de trop non plus.

Bien sûr, si votre recherche est purement esthétique, la question de la sécurité alimentaire ne se pose pas mais pour autant il ne s'agit pas d'un matériau anodin. C'est un médicament déjà très puissant à petites doses (contre la malaria).