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Le tissage des toiles à peindre

 

 

 

Indépendamment de la nature de la fibre, le tissage est essentiel.

Les armures jouent un rôle important pour la qualité d'une toile. Plus encore, le terme de toile n'est pas applicable en principe pour un tissus sans chaîne - ce qui distingue la toile de la "demi-toile". Dans ce dernier cas, au moins 50% de la surface est à jour. Elle ne permet pas de peindre - sauf effets spéciaux désirés induisant un encollage particulièrement attentif.

Une toile à armure serrée, normale pour peindre, ne laisse aucun vide.

Une toile a deux types de fils :

* la trame, constituée de fils parallèles et perpendiculaires,

* la chaîne, faite de fils parallèles.

La tension doit tenir compte de ces orientations (voir Tension sur châssis), c'est ce que l'on nomme "tension droit fil".

La régularité du tissage est aussi très importante dans le choix d'une toile à peindre. Tout particulièrement, la présence de noeuds est vraiment à éviter : il est difficile de s'en débarrasser par la suite ; ils deviennent de plus en plus apparents à mesure que l'on peint (surtout quand on peint maigre).

Regarder la toile en transparence permet de détecter les anomalies d'armure et les irrégularités. Un conseil difficile à appliquer lorsque l'on se procure un segment de 10 ou 50 mètres par exemple, sachant que la largeur des rouleaux est généralement de l'ordre de 2,15 ou 2,20 m. Il faut se contenter d'examens locaux et s'en remettre à la chance.

 

 

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