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La tension du papier  

 

 

 

 

Cette opération est destinée à éviter les déformations d'un papier même épais employé comme support d'une peinture aqueuse comme l'aquarelle ou le lavis en particulier (procédés très fluides).

1. Imbiber le papier d'eau recto verso (il n'est pas exclu de le plonger intégralement dans l'eau). Un produit colorant peut être ajouté dès ce moment pour donner une teinte à la feuille. A ce stade, éviter les peintures réversible.

2. Le plaquer sur une planche épaisse, parfaitement plane (planche à dessin ou autre).

3. "Scotcher" le papier avec du kraft gommé (qui devient très collant au contact de l'eau). Voir photo ci-dessous.

4. Attendre que la feuille soit sèche. En perdant son eau, elle va se tendre considérablement. . Une fois sèche, elle est prête à l'emploi.

Il peut arriver que le kraft lâche. Il suffit en principe de réitérer l'opération.

Un papier fort (papier aquarelle de 300 g/m2, papier lavis de 224 g/m2, kraft de 130 g/m2 au moins, népalais épais ou tout autre papier de plus de 220 g/m2, chiffre à augmenter éventuellement si le papier est peu collé) est nécessaire. Voir Les papiers pour l'aquarelle, Les papiers pour la gouache.

Le travail doit ensuite être découpé au cutter, le long de la bande de kraft gommé.

 

Comme support pour la peinture à l'huile ou à l'acrylique, ce procédé de collage est rarement employé. La feuille doit être tendue (sur châssis ou autre support) et le rester. Il faut la traiter comme une toile (voir tension d'une toile sur châssis) et donc l'encoller.

 

Une autre opération est réalisable : le marouflage préalable. Collé sur une surface dure, imprégné d'enduit/colle, le papier devient un support très sûr pour presque tous les procédés de peinture. Son grain gagne à être mis à profit plutôt qu'à être atténué par un gesso au demeurant inutile. Lorsque la peinture est grasse, une couche de liant vinylique ou acrylique employé comme enduit permettra de le garder à peu près intact.

 

 

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