Dtp :
On
pense d'abord à trois intermédiaires, (...).
Pour le reste, un peu plus à cheval sur l'univers de la distribution,
(...). Du côté déco/btp gros/demi-gros, (...).
Puis (...) dans la distributrion, (...).
A plus petite échelle, (...) mais déjà là on boucle la boucle car ces
détaillants ont pour fournisseurs des gens comme (...). Ils peuvent
cependant donner des informations.
(...)
Règle n°1 : ne jamais paraître vouloir court-circuiter un
intermédiaire.
(...) il faut déterminer avec une totale
précision de quel dammar il s'agit. Quelle est l'essence de l'arbre.
C'est essentiel. Inutile d'entamer les prises de contact sans avoir
cette donnée-là.
J'espère que ces infos vous aideront. Nous tiendrez-vous au courant ?
[quelques mois plus tard
(le 7/3/2009), retour sur l'affaire, formulation modifiée le 1/9/2011]
VL était-il sérieux ? On en a douté dès
le début mais il était intéressant précisément de voir comment cet
interlocuteur un rien inhabituel allait éventuellement réagir en face d'une réponse
sérieuse et documentée.
Conclusion : le sauveur de "peuplades"
pour lequel "Tout le village
compte sur moi" n'a pas fait
signe.
Le peuple Wana de Sulawesi ne vient pas
d'apparaître au monde, n'est pas "simple" (on se croirait dans
Tintin au Congo ou Tarzan) et reçoit courtoisement les
touristes en ce lieu d'une beauté extraordinaire dit-on, qui est une
réserve protégée par le gouvernement indonésien et non soi-disant
protégée "des futures agressions extérieures" par des
aventuriers français en quête de bonnes affaires.