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La covalence
Article du glossaire

 

 

 

Une liaison covalente entre atomes se distingue par un partage d'électrons sur une orbite moléculaire commune.

Une telle liaison se distingue, par cette mise en commun, des liaisons ioniques où les forces en jeu sont purement électrostatiques. Cette distinction essentielle est liée aux différences entre les électronégativités des atomes en présence. Pour plus d'explications sur ce point, lire l'article consacré aux liaisons entre atomes. Lien.

Les situations intermédiaires existent : une liaison peut être partiellement covalente et partiellement ionique.

Comme introduit dans le lien ci-dessus, en deçà d'un Δχ de valeur 2 nécessaire pour qu'une liaison covalente puisse survenir, nous passons à une différence d'électronégativité suffisamment faible pour que d'autres mécanismes prennent le dessus, décrits par l'exemple de O2 dans ce passage du chapitre II des Dialogues de Dotapea et plus généralement dans la description des couches électroniques esquissée dans le chapitre IV (lien).

 

Rayon de covalence et effet d'écran

Chaque élément a son "rayon de covalence" (demi-distance entre les noyaux) où circulent les électrons "partagés". C'est une propriété de l'atome. Le nombre de couches électroniques (représenté par les colonnes de la table de Mendeleïev) joue par ailleurs un rôle dans la capacité du nuage à se contracter sous l'effet du partage d'électrons qui implique une sorte d'apport de charge. On pourrait croire que plus il y a d'électrons partagés, plus la charge négative est forte et plus le nuage se rapproche du noyau.

Ce serait ignorer que la charge ressentie par un électron (l'attraction vers le noyau effectivement subie) dépend non seulement de l'attraction du noyau, mais aussi de ce que l'on nomme l'effet d'écran.

L'effet d'écran est basé sur le fait que les électrons étant de même signe, ils se repoussent. Les électrons d'une même couche ont la même énergie car ils subissent d'une part la même attraction venant du noyau (de signe opposé), d'autre part la même répulsion venant des électrons qui les séparent dudit noyau (règle de Slater).

Ainsi, plus un élément dispose de couches, moins l'effet de contraction est sensible.

Lien externe sur Jussieu.fr

 

Lien entre valence et covalence

Il est expliqué à la fin de l'article consacré à la valence. Cliquer ici.

 

 

Avec l'aide de Jean-Louis

 

 

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