La Communion, Picasso à 15 ans
Picasso (ou José Luis Blasco?),
première communion

Voici un texte qui nous éclaire un peu sur le phénomène Picasso. On le dit artiste de génie, possédant une force et une capacité de travail phénoménale, capable de se mettre dans la peau de n’importe quel artiste de son époque et de faire mieux, peignant à 15 ans la première communion de sa sœur, comme un grand maître.

Il a pourtant laissé s’exprimer ses regrets dans l’interview ci-dessous. Nous savons tous que ses qualités humaines étaient à zéro. Je laisse à ceux qui ignorent son avarice, son égoïsme ainsi que la personnalité aberrante et cruelle de Picasso le soin de faire des recherches sur le net.

Comme il est devenu le père de l’art contemporain, ce roi du succès s’offrant le luxe d’assister à un spectacle mondain à l’Opéra de Paris en liquette (bermuda et débardeur) fusillant du regard tout notable qui le regardai de travers, on est en droit de penser que le Génie était en lui. Et s’il n’était qu’un imposteur, soutenu par un réseau intéressé par sa démarche, le premier à s’inscrire dans la mouvance d’une destruction de valeurs culturelles ?

Le texte qui suit est extrait du Livre noir, pages 147 à 149, de l’écrivain italien Giovanni Papini. Il s’agit d’une « confession » que le plus célèbre peintre du XXe siècle, Picasso, aurait faite en 1946, à l’âge de soixante-cinq ans, à Papini. Ces propos ont été repris en France par plusieurs journaux, notamment par Combat, le 13 août 1962, sans être démentis par Picasso.

Concernant son métier voici ce qu’il a dit:

 

UNE CONFESSION DE PICASSO

(Giovanni Papini, 1946, 1962, 1980)


Picasso
        

« Lorsque j’étais jeune, comme tous les jeunes, j’ai eu la religion de l’art, du grand art ; mais avec les années, je me suis aperçu que l’art, comme on le concevait jusqu’à la fin de 1800, est désormais fini, moribond, condamné, et que la prétendue activité artistique avec toute son abondance, n’est que la manifestation multiforme de son agonie. Les hommes se détachent, se désintéressent de plus en plus de la peinture, de la sculpture, de la poésie ; malgré les apparences contraires, les hommes d’aujourd’hui ont mis leur cœur dans tout autre chose : la machine, les découvertes scientifiques, la richesse, la domination des forces naturelles et des ressources naturelles du monde. Nous ne sentons plus l’art comme besoin vital, comme nécessité spirituelle, comme c’était le cas dans les siècles passés.

Beaucoup d’entre nous continuent à être des artistes et à s’occuper d’art pour une raison qui a peu de chose à voir avec l’art véritable, mais plutôt par esprit d’imitation, par nostalgie de la tradition, par force d’inertie, par amour de l’ostentation, du luxe, de la curiosité intellectuelle, par mode ou par calcul. Ils vivent encore par habitude et snobisme dans un récent passé, mais la grande majorité, dans tous les milieux n’a plus une sincère passion pour l’art qu’ils considèrent tout au plus comme un divertissement, loisir et ornement.

Peu à peu, les nouvelles générations amoureuses de mécanique et de sport, plus sincères, plus cyniques et brutales, laisseront l’art dans les musées et bibliothèques comme incompréhensible et inutile relique du passé.

Du moment que l’art n’est plus l’aliment qui nourrit les meilleurs, l’artiste peut extérioriser son talent dans toutes les tentatives de nouvelles formules, dans tous les caprices et la fantaisie, dans tous les expédients du charlatanisme intellectuel. Dans les arts, le peuple ne cherche plus ni consolation, ni exaltation. Mais les raffinés, les riches, les oisifs, les distillateurs de quintessence cherchent le nouveau, l’extraordinaire, l’original, l’extravagant, le scandaleux. Et moi, depuis le cubisme et au-delà, j’ai contenté ces messieurs et ces critiques avec toutes les multiples bizarreries qui me sont venues en tête, et moins ils les comprenaient, et plus ils les admiraient. A force de m’amuser à tous ces jeux, à toutes ces fariboles, à tous ces casse-tête et arabesques, je suis devenu célèbre et très rapidement. Et la célébrité signifie pour un peintre : ventes, gains, fortune, richesse.

Aujourd’hui, comme vous savez, je suis célèbre et très riche. Mais quand je suis seul avec moi-même, je n’ai pas le courage de me considérer comme un artiste dans le sens grand et antique du mot.

Ce furent de grands peintres que Giotto, Le Titien, Rembrandt et Goya. Je suis seulement un amuseur public qui a compris son temps.

C’est une amère confession que la mienne, plus douloureuse qu’elle ne peut sembler, mais elle a le mérite d’être sincère. »


Inauguration musée Picasso à Paris
Inauguration musée Picasso à Paris

 

On pourra jeter un coup d’œil sur des recherches récentes sur l’authenticité de sa démarche. Car il se pourrait bien que ses premières œuvres soient celle de son père, José Luis Blasco, qui s’est suicidé. On comprendrai mieux son geste. Voir les liens ci-dessous à ce sujet.

 


Picasso, ou l’imposture artistique

8 mai 2014 par Guillaume Faye

Il était une fois un petit peintre espagnol de qualité très moyenne mais doué d’un exceptionnel génie commercial, on dirait aujourd’hui ”marketing” : Pablo Picasso. Jouant sur le snobisme de la bourgeoisie…

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Picasso Illusioniste

12 avril 2012
Par Mavrakis
Comme l’a montré Romulo Antonio Tenès, les esquisses et pochades attribuées à Picasso (1881 – 1973) et  datées de la période 1891 – 1897 sont dus, en fait, à son père Josè Ruiz-Blasco.
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Picasso fraudeur et imposteur

Extrait:

Procédure 188/2003-R Contre le Musée Picasso de Barcelone, la Mairie de Barcelone et le Gouvernement autonome de la Catalogne.
Charges: Faux en document public. Les billets annoncent "Picasso" étant donné que les œuvres exposées dans les salles 1ère au 11ème appartiennent a
son père, José Ruiz Blasco.

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